Publié le : 18 février 20204 mins de lecture

La voix de femmes ! On entend parler depuis des décennies, mais peu de gens font attention à ces désirs, avides d’égalité. Cette association ne demande que d’être au même rang que les hommes. À présent, il existe environ une soixantaine d’associations de femmes en France, qui se battent pour les règles sociales et humanitaires. Ayant chacun ses vertus, une association féministe se différencie d’une autre, mais se complète parfois.

Les organismes féministes français

Vu le nombre de femmes sur la population active, la France présente une richesse sur l’existence de  cette masse d’association féministe. De but à revendiquer un part égal sur le droit humanitaire, au niveau social et professionnel.

Actuellement, il existe plusieurs organisations qui ont vu le jour. En voici quelques exemples, les plus populaires: « La Barbe », comptant jusqu’à 100 adhérents et 2800 followers, puis la plus fate, « Osez Le Féminisme » (OLF), 2 000 adhérents avec plus de 6 000 followers. Suivi de « Les chiennes de garde » : 100 membres au niveau national, et 50 autres associations ayant la même revendication.

En quoi luttent-elles ?

Départagé suivant les classements d’appartenance, les femmes sensibilisent d’autres victimes, en fonction de l’objectif de ses associations respectives. Dans le milieu professionnel, certains cas se présentent sur l’inégalité des sexes. L’association féministe s’attache sur légalité professionnelle, vu le salaire à 40% d’écart de revenus à la retraite entre les femmes et les hommes. L’accès aux postes à hautes responsabilités et la mise en égalité des sexes pour les tâches ménagères. Sans parler des victimes de violation au travail, une situation fréquente des détenteurs de pouvoirs.

Néanmoins dans la sphère publique et sociale ou culturelle, le droit des femmes est légèrement pris au sérieux. Telle la revendication de droit de la femme contre la prostitution et le sexisme, contre les mariages forcés, la mutilation sexuelle, la violence conjugale et le harcèlement verbal. Ainsi le feu vert aux droits fondamentaux humains, à l’autonomisation économique, et au droit à l’IVG, contraception et à la santé.

Société plus égalitaire

Ce n’est pas une guerre de sexe,de l’homme contre la femme. Bien que la comparaison se fasse au niveau des hommes, les féministes revendiquent leur droit face à l’infériorité de son rang. Et même si les paroles s’adressent aux « hommes d’État », le genre n’est pas la question.

L’accumulation des organismes nés indique la surdité des dirigeants envers les femmes. Par contre une constatation sociale montre l’augmentation des victimes d’harcèlement et de viols. L’association féministe interagit surtout au niveau familial, car delà que l’éducation commence. À débuter par l’éducation des plus jeunes sur les comportements envers leur prochain, puis la mise en référence des parents vers le droit comportement face à ces jeunes.